Découvrez Jacques Brel!
jeudi 30 avril 2009
Hymne à l'amour
Découvrez Jacques Brel!
mardi 28 avril 2009
Coup de blues?
Trouver les derniers biberons et le stérilisateur qui manquent. Réfléchir à mon nouvel emploi du temps. Ressortir le lit de nourrisson (que Petit Bonhomme n'a pas voulu lâcher avant ses 3 ans). Aménager (enfin) la nouvelle chambre dans les combles et arpenter les magasins de déco. Imaginer comment le même Petit Bonhomme va réagir à l'arrivée de la petite soeur (sachant qu'il colle déjà bien plus que le riz de l'Uncle Ben's). Souffler beaucoup et reprendre le yoga prénatal. Lire aussi, j'ai du retard sur mes envies. Faire quelques pots de confiture d'abricots et des beignets de fleurs de courgettes. M'apprêter à être, à nouveau, épuisée, le corps en morceaux, l'esprit en ébullition, les hormones en bataille.
dimanche 26 avril 2009
Pause thé... la suite
- 150g de farine
- 100g de beurre demi-sel mou
- 50g de cassonade
- 5 cuillères à soupe de lait entier
Mélanger la farine et la cassonade. Ajouter le beurre mou en petits cubes et l'incorporer du bout des doigts. Ajouter le lait jusqu'à ce que le mélange forme un boule de pâte, l'emballer dans du film alimentaire et le conserver au frais 1 heure.
Préchauffer le four à 160°C. Etaler la pâte sur le plan de travail fariné sur une épaisseur de 1cm. Découper en rectangle et former de petits trous avec une fourchette.
Cuire 15 minutes, jusqu'à ce que les biscuits soient blonds.
Note: j'ai très envie de les tester avec des grains d'anis vert.
vendredi 24 avril 2009
Un autre Regard sur la culture
mercredi 22 avril 2009
Pausé thé... sans thé
Depuis le début de ma grossesse, j'ai été obligée de supprimer thé et café, sous peine de bébé bondisseur! Une fois fait le tour des infusions traditionnelles, je me suis tournée vers un vieux copain, rencontré il y a 10 ans (déjà...) en Afrique du Sud et alors peu connu en France: le thé rouge ou rooibos. De thé, il n'a que le nom puisque sans théïne. Il n'a pas non plus le côté corsé qui fait que, le buvant sans sucre ni lait, je le préfère en général parfumé.
Pour la petite histoire (je fais ma Bouilloire bavarde), le mot rooibos signifie "buisson rouge " en afrikaans. C'est un arbuste, de la famille des acacias qui pousse exclusivement dans une région d'Afrique du Sud appelée Cedarberg et située au nord de la ville du Cap. Ses copeaux fermentés sont riches en polyphénols aux propriétés anti-oxydantes.
En faisant un petit tour dans mon magasin bio préféré (et situé à 50m de la maison), j'ai testé la version parfumée "Mama Rose" à la rose des Jardins de Gaïa. La saveur s'avère délicate, parfaite pour un après-midi en dilletante, avec un bon livre et quelques scones ou pour un petit déjeuner, au calme. Il a enchanté la semaine de vacances passée.
Le Prince Charmant m'avait aussi permis de tester la version "Halloween" orange-canelle.
Vous pouvez trouver tous ces rooibos sur la boutique en ligne des Jardins de Gaïa. Le "Mama Rose" est à 5,90 € les 100g et le "Halloween" à 5,00 € les 100g.
Pour ceux qui ne connaissent pas, les Jardins de Gaïa sont spécialisés en thés bio et issus du commerce équitable. Ils sont installés en Alsace (eh, oui!...) et proposent des thés, tisanes, infusions de toutes sortes et de toutes origines. Toujours de qualité, le packaging est simple mais très bien fait. On trouve les produits sur divers salons sur Paris ou le Grand Est mais ils ont aussi un service de VPC.
lundi 20 avril 2009
Petite revue de presse arachnéenne
samedi 18 avril 2009
Brève
vendredi 17 avril 2009
"L'attentat" de Yasmina Khadra
Je retrouve ce que je cherche dans un roman: une intrigue prenante, des personnages consistants, mais surtout un fond indénibale, une vraie réflexion sur les relations entre les hommes, sur notre Histoire contemporaine aussi. Car plus je lis, et plus je réalise que me touchent surtout les romans, et qu'au-delà des histoires qu'on me racontre, ce sont les messages explicites ou non que je recherche.
Ici l'énoncé est simple: Amine est israélien d'origine arabe. Il est chirurgien, parfaitement intégré et est marié à Sihem, qu'il aime par-dessus tout. Sa vie bascule le jour où un attentat est commis à Tel-Aviv. La kamikaze n'est autre que son épouse. Une quête s'amorce alors pour comprendre pourquoi il n'a pas vu quel était son combat, pour comprendre comment il a pu être floué ainsi. C'est d'abord une blessure d'amour puis d'amour propre. Et on se plaît à croire que le contexte n'est qu'un prétexte pour explorer un couple, avec ses complicités et ses secrets. Mais l'Histoire contemporaine nous rattrape très vite. Au final, aucune réponse n'est donnée mais la réflexion est ouverte. C'est un très beau cadeau que nous fait le romancier.
A noter aussi que la langue est très belle (le roman est écrit en français, l'auteur est algérien) ce qui ne gâche rien.
L'extrait suivant se situe au milieu du roman. Amine interroge un proche et veut comprendre pour quel combat sa femme est morte, lui dont le métier est de sauver des vies.
-Pourquoi? grommelé-je, vexé par mes propres propos, pourquoi sacrifier les uns pour le bonheur des autres? Ce sont généralement les meilleurs, les plus braves qui choisissent de faire don de leur vie pour le salut de ceux qui se terrent dans leur trou. Alors pourquoi privilégier le sacrifice des justes pour permettre aux moins justes de leur survivre? Tu ne trouves pas que c'est détériorer l'espèce humaine? Que va-t-il en rester, dans quelques générations, si ce sont toujours les meilleurs qui sont appelés à tirer leur révérence pour que les poltrons, les faux-jetons, les charlatants et les salopards continuent de proliférer comme des rats?
-Amine, je ne te suis pas, là? Les choses se sont toujours déroulées de la sorte depuis la nuit des temps. Les uns meurent pour le salut des autres. Tu ne crois pas au salut des autres?
-Pas lorsqu'il condamne le mien. Or, vous avez foutu ma vie en l'air, détruit mon foyer, gâché ma carrière et réduit en poussière tout ce que j'ai bâti, pierre par pierre, à la sueur de mon front. Du jour au lendemain, mes rêves se sont effondrés comme des châteaux de cartes. Tout ce qui était à portée de ma main s'est évanoui. Pfuit! que du vent... J'ai tout perdu pour rien. Avez-vous pensé à ma peine lorsque vous avez sauté de joie en apprenant que l'être que je chérissais le plus au monde s'était fait exploser dans un restaurant aussi bourré de gosses qu'elle de dynamite? Et toi, tu veux me faire croire que je dois m'estimer le plus heureux des hommes parce que mon épouse est une héroïne, qu'elle a fait don de sa vie, de son confort, de mon amour sans même me consulter ni me préparer au pire? De quoi j'avais l'air, moi, alors que je refusais d'admettre ce que tout le monde savait? D'un cocu! J'avais l'air d'un misérable cocu. Je me couvrais de ridicule jusqu'au bout des ongles, voilà de quoi j'avais l'air. De quelqu'un que sa femme trompait de long en large pendant qu'il se défonçait comme une brute pour lui rendre la vie aussi agréable que possible.
mercredi 15 avril 2009
Repas printanier
- 4 escalopes de veau très fines (coupées au tranchoir ou aplaties par le boucher)
- 250g de viande de veau pas très grasse (ou de farce déjà hâchée)
- 4 fines tranches de barde
- 2 oignons nouveaux
- 4 carottes nouvelles
- 300g de petits pois frais ou surgelés
- une grosse boîte de champignons de Paris entiers
- 25cl de vin blanc
- 25cl de bouillon de veau
- 2 échalotes
- huile
- sel, poivre, herbes de Provence
- de la ficelle alimentaire
Hacher la viande pour faire une farce. Eplucher les échalotes et les hacher très fin. Mélanger à la farce et saler et poivrer. Ajouter deux pincées d'herbes de Provence et mélanger.
Poser un quart de farce sur une escalope et rouler. Enrouler d'une bande de barde et ficeller le tout.
Recommencer avec les trois autres escalopes.
Faire chauffer un peu d'huile dans une cocotte et faire dorer les paupiettes. Eplucher les oignons nouveaux et les ajouter, émincés, dans la cocotte. Quand le tout est doré, ajouter les carottes épluchées et émincées, les champignons de Paris égouttés, le vin blanc, le bouillon de veau. Saler et poivrer si nécessaire. Faire cuire 35 minutes.
Ajouter les petits pois surgelés et faire cuire encore 10 minutes.
mardi 14 avril 2009
"Et mon coeur transparent" de Véronique Ovaldé
dimanche 12 avril 2009
Joyeuses Pâques!
Je me suis inspirée d'une recette donnée par le magazine Saveurs d'avril dont je vous reparlerai.
- 60mL d'eau
- 50g de beurre doux
- 50g de beurre demi-sel
- 100g de sucre
- 500g de farine
- une cuillère à café de levure
- 100g de chocolat dessert
- 1 cuillère à soupe de lait
- 60g de sucre glace
- 1/3 du jus d'une orange
Notes:
1/ nature, ils sont très peu sucrés et donc parfaits pour être trempés dans un thé.
2/ je maîtrise encore mal la pâte sablée et je crois qu'il fait être très rapide au pétrissage pour ne pas la durcir. De même, avec un robot le résultat est plus délicat à obtenir, pour moi.
3/ Petit Bonhomme était très content que la pâte fasse une sieste comme lui.
Bonne fin de weekend pascal!
dimanche 5 avril 2009
Classique mais efficace
- 200g d'échine de porc
- 200g d'escalope de veau
- 1 oignon
- 3 gousses d'ail
- 300mL de coulis de tomate
- huile d'olives
- sel, poivre, épices, herbes de Provence
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jeudi 2 avril 2009
Je suis un cas désespéré
Des petites filles modèles, on vous dit...
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